Un p'tit café avec ça?

Une folle envie d'écrire... Voilà ce qui me prend... Mais je ne sais pas trop de quoi parler... Bon... Je m'étais promis de faire un compte-rendu du canot-camping... Alors bon... Je crois que c'est le bon moment.

Voilà...

Par où commencer...

Oh si, par vous prévenir que comme c'est plus mes doigts que mon cerveau qui contrôlent le clavier, ça risque d'être assez désordonné, bourré de fautes et long... Âmes sensibles s'abstenir...

Bon Bon... Alors... Le tout a commencé dans le bus... On est arrivé dernier. Comme d'habitude...

Quoique... Si on remonte plus loin, on pourrait dire que ça a commencé à l'épicerie... Et quelques heures plus tôt notre première engueulade à Bozo et moi (dans le cadre du canot-camping (qui n'était même pas encore commencé (faut le faire!))). Mais! Je voulais pas manger dans le métro! Mais bon... C'est peu pertinent.

Ouais oh ! Le point qui a vraiment commencé le canot-camping c'est la réunion qu'on a eu tout le monde ensemble. Oui oui, celle où on a appris qu'on allait pouvoir appeler Monsieur Prévost Michou ! Quel plaisir pour les cordes vocales ! : ) Ohhh et ses fameuses saucisse enrôbées de bacon grillées sur le feu... Miam ! Mais ouf... Je m'égare... Je crois que je vais me structurer chronologiquement, ça va être plus simple.

Avant canot-camping

Bon... Ben y'a pas grand chose à dire là dessu... Sinon... Oh ! J'ai revu une certaine fille avec qui j'étais en 6e année à la caisse du Loblaw... Et on y est repassé 3x plutôt qu'une ! Et sinon... Oh eh bien... La soirée avant le canot-camping commençait la fin de semaine en grand. C'était... C'était... Je reste sans mot.....

Le samedi

Réveillé à 4h50... Mes sacs ne sont pas encore fait. À la dernière minute moi ? Pas du tout! Une douche et trois sacs remplis et une lettre imprimée ( :) si tu savais à quel point j'adore te lire...) plus tard, me voilà fin prêt à partir à l'aventure sur le lac Wapigotiwak (hishhhh... J'ai aucune idée comment s'appellait le lac, mais ça ressemblait à ça... C'était dans le parc de la Mauricie en tous cas!) rebaptisé lac Alexandre Dépatie par Vanessa. Dans le bus, nos magnifiques voix sont mises en valeur par les magnifiques textes de camps, ainsi que par les désormais classiques «train de vie» et «siffler sur la colline» pour ne nommer que ceux-ci, aux grand plaisir de notre fan club de l'arrière du bus (!). Arrivés au parc de la Mauricie, ça sent déjà la bibitte. On se pense bien fin avec notre Watkins, mais, à la fin de la fin de semaine, on allait apprendre que les maringoins et leurs amis les mouches allaient avoir remporté la victoire en faisant augmenter la vente d'after-bite et autres produits du genre... Mais bon ! Donc, nous voilà donc rendu au lac. Nous transportons le stock dans les canots. Bozo et moi filons le parfait bonheur encore. Mais ! (Il fallait bien que ça arrive) un nuage se pointe à l'horizon... Se nuage s'appelle Kevin et David. Ils proposent une alliance entre les canots (ARG). Quelques noeuds de corde plus loin, on est attachés ! :( On s'arrête pour le diner, et malgré les conseils de David qui dit que c'est tout à fait ridicule de faire ça car cela crée de la résistance pour rien, ils tiennent à leur idée de cons. Ann-Sarah propose que je les rejoigne dans leur canot. Finalement, on fait un échange. Je me retrouve donc à pagayer en compagnie de Vanessa et Jeanne (qui est fort sympathique!). Notre trio durera jusqu'au dernières secondes de la vie de notre navire. Mais donc ! Je crois que je vais embrayer car j'ai un exam d'anglais demain et je devrais me coucher tôt et j'aimerais toute couvrir la fin de semaine... Alors on va faire un gros saut dans le temps...

TORNADE TEMPORELLE !!!

Nous voilà donc dans la tente de M-J en compagnie de Virginie entre autres... Et pouf... Minuit arrive.

Dimanche

Vers les deux heures du matin, on décide d'aller prendre une marche sur la plage. Bozo et moi allons donc admirer les étoiles. Le spectacle qui s'offrait à nous était... était... Encore une fois les mots me manque... Mais... Le ciel était tellement beau. Un vrai vrai ciel étoilé. Et on voyait le reflet des étoiles sur le lac ainsi que le reflet des montagnes. Et comme l'eau était plus foncée que le sable, le reflet du ciel sur l'eau donnait une impression de hauteur et de vertige sans limite. Comme si toutes les étoiles n'avaient été que des petits bateaux... Ce sentiment de puissance, d'être inateignable, fort, c'était tellement... Tellement ! Je pourrais vous en parler pendant des heures et des heures et vous ne pourriez pas plus comprendre je crois... Mais bon... Après avoir retrouvé Vanessa, Kev et Charles, nous voilà couchés dans nos sleeping sur la plage tellement le paysage nous avait frappé. Nous devons avoir dormi une grosse heure... Avant de se réveillé, tous gelés comme jamais. On tremblait... Alors on a pris la décision de retourner dans la tente... Et puis... Bon... Je crois que je vais faire une autre tornade temporelle car mon gros trip d'écrire encore et encore tire à sa fin (tout comme votre volonté de lire jusqu'à la fin j'imagine).

TORNADE TEMPORELLE!!!

On est sous la chute. Oui, on est allé se baigner sous une chute (hish... Ça s'en vient butché mon affaire)... Mais cette chute était tellement belle... J'adorais la regarder... C'est tellement impressionnant toute la force qui se dégage de cette masse d'eau qu'est le lac... [Ouf...] Bon... Alors, après avoir marché les 3,8km pour retourner aux canots et pagayés jusqu'à une distance d'environs 5-10 minutes de canot de notre destination finale, on a décidé de faire une course. Mon fameux esprit de compétition a repris le dessus... Et donc nous, (qui étions arrivés les derniers à tous les arrêts (je tiens à le préciser)) avions la chance de gagner l'ultime course. Et voilà le départ ! Nous pagayons comme jamais. Nous sommes premier ! Premier virage... Merde! On se fait dépasser. On redouble de vitesse (ce qui fait je porte moins attention à la direction). Et on se retrouve donc échoués sur le bord de l'eau. Jeanne et moi, dans un moment d'héroïsme, nous lançons à l'eau pour pousser le canot, et au moment de rebarquer, je m'accroche un peu trop au bord, et..... ! Notre canot chavire. Voilà tout notre stock mouillé comme jamais. On abandonne la course, on se tappe dans les mains, bien fiers de nous malgré tout. Car l'important c'est de participer, pas de gagner... Hish... Je viens vraiment de dire ça... Je cours rejoindre mon lit au plus vite !

Après canot-camping

Euh... La ronde, le projet techno et le restant de ma vie (ehhhh...) !

Bon bon... Voilà... C'est fait, c'est inscrit, je vais me souvenir de cette fin de semaine et de tous ces détails des plus inutiles et ridicule à tout jamais maintenant!